Eric Beynon
  Remarques
     
 
Les rares notes qui parsèmes le présent catalogue, ne sont là que pour induire en erreur les nombreux amateurs de commentaires et explications de ce qu' ils ont sous les yeux.
Pour des raisons techniques, indépendantes de notre volonté, les oeuvres postérieurs à l' été 2010 n' ont pu être reproduites, n' étant pas encore peintes.

Notes liminaires
Certaines oeuvres ayant été réalisés en quelques jours notamment les toiles orientalistes et certaines scènes animalières de la fin des années 80 et début 90; alors que d' autres parfois s' étalent jusqu' à une dizaine d' années, inlassablement reprises, les dates de réalisation ne sont pas indiquées dans ce catalogue, à de rares exceptions concernant celles de 2005-2010.

Remarque concernant cette iconographie
Les oeuvres antérieurs a la période des « Assemblages » sont dispersées ou détruites, il n`y a pas a ce jour de traces de celle qui avait obtenu le Premier Lisssone, en Italie.

Les oeuvres postérieurs a la période des « Assemblages », comportant toutes les oeuvres, nombreuses, sur toile et adjonction d`objets ne sont connues qu`a travers des articles de la presse, parfois reproduites, et la mémoire de quelques artistes, par exemple Hervé Télémaque et Pierre Buraglio Les oeuvres suivantes, sur toiles sensibles, la plupart étant la propriété de la Galerie Blumenthal – Monmatton, nous en avons perdu la trace, cette Galerie n`existant plus depuis très longtemps.

Quelques traces peuvent être vue dans le film de Jean-Pierre Melville: Le Samouraï 1967 (avec Alain Delon).

Une grande partie des oeuvres « mécaniques », ont été dispersées depuis cette période et se retrouvent parfois en Salle de Vente, en Angleterre, Espagne ou France (voir dernières ventes aux enchères citées).

En ce qui concerne la période des « Assemblages » qui ont circules plus largement (voir Musée d`Art Moderne N.Y. Et Galerie Bertha Schaeffer), seules celles en possession des acheteurs et ayant droit ont survécus aux États-unis, les autres, a part un certain nombre en France ont été détruites par nos soins a cause de l`impossibilité de les stocker durablement compte tenu de leur très grande dimension.

La Galerie R.Stadler en a fait photographier un certain nombre, dont celles reproduites ci-dessus.